ENGELBERT & HENSOLD 1861

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  • Date de fabrication : 1865
  • N° du microscope : 342
  • Adresse : Wetzlar
  • Catégorie : Composé monoculaire
  • Type : Continental
  • Modèle : Petit droit fixe
  • N° inventaire : 252

ENGELBERT & HENSOLD 1861

  • Date de fabrication : 1865
  • N° du microscope : 342
  • Adresse : Wetzlar
  • Catégorie : Composé monoculaire
  • Type : Continental
  • Modèle : Petit droit fixe
  • N° inventaire : 252

252 Petit microscope d’Engelbert & Hensoldt

Vers 1864, le pied rectangulaire est en laiton, de 82 mm par 95 mm et de 18 mm de hauteur, avec des bords arrondis et une colonne courbée en fonte de fer noirci.

Le réglage grossier se fait par un tube coulissant.

Comme c’est le cas pour les premières statifs de Kellner, la vis micrométrique est placée sous la platine, pour pouvoir être manipulée confortablement avec la main à plat.

Sur les premiers microscopes de l’Institut d’Optique de Wetzlar, la platine ne peut pas recevoir de valets.

Pour rattraper le jeu de la colonne triangulaire, il y a une lamelle en acier ente une des faces du triangle et le fourreau et en vissant une vis à l’arrière de ce dernier, on peut durcir la friction.

L’éclairage s’effectue par un miroir de plan et concave double face, qui peut être déplacé de l’axe optique pour un éclairage de travers. Toujours pour l’éclairage, il y a un support en forme de demi-cercle et en son milieu, une petite perforation permet d’indiquer la position exacte de la perpendicularité du miroir.

Fixée sous la platine de table à droite, un disque dispose d’une ouverture en forme de rectangle, et de six ouvertures circulaires de différents diamètres.

L’équipement optique se compose d’un objectif Seibert n° V estampillé 14 comme sur le statif, d’un autre n°3 et n°1 également avec le numéro 14. Sur les oculaires 1 et 2, on retrouve ce numéro 14.

L’instrument est signé sur l’avant de la platine : ENGELBERT & HENSOLDT WETZLAR N° 342

Le microscope est placé dans sa boîte après avoir retiré le tube monoculaire. Il y a 2 emplacements pour les 2 oculaires et deux autres pour les objectifs. Sur le couvercle on trouve une pièce en laiton avec un pas de vis dans lequel on peut visser le troisième objectif. La boite possède sa clef.

2 155 207 321 0,00375 1/267 0,0016623 1/601
3 337 466 750 0,0016667 1/600 0,0007388 1/1353
Der Preisliste von Friedrich Belthle aus dem Jahre 1863 ist zu entnehmen, dass die Werkstatt in Wetzlar ebenfalls drei Okulare anbietet, sowie 5 Trockenobjektive.
Die Systeme 0 bis 3 entsprechen dabei in ihren Leistungen in etwa den von Engelbert & Hensoldt angebotenen Optiken, lediglich das System 4 hat in Verbindung mit dem stärksten Okular eine errechnete maximale lineare Vergrößerung von 1200-fach. Mit einem solchen Trockensystem kann jedoch bei dieser linearen Vergrößerung physikalisch keine sinnvolle Auflösung mehr erreicht werden.
Nach Leopold Dippel (Leopold Dippel: Das Mikroskop und seine Anwendung. Verlag von Friedrich Vieweg und Sohn; Braunschweig 1867: 158) wird das kleinere Mikroskop – und damit Nachfolger des hier vorgestellten Instruments – von Engelbert & Hensoldt in Wetzlar in der hier vorliegenden Ausstattung zuzüglich Okularglasmikrometer, aber mit nur 4 Öffnungen der Diaphragmenscheibe, im Jahre 1867 für 72 Thaler angeboten.